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Au rayon cd

28 octobre 2012

AU RAYON CD déménage et fait peau neuve !!!

Après 5 ans d'existence, le blog fait sa mue.

Plus pratique, plus belle, la nouvelle version du site est ici :

http://aurayoncd.blogspot.fr/

 

Un grand merci (et bravo) à Katy !

 

 

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28 octobre 2012

"Duran Duran : Les Pop modernes" : les belges en parlent les premiers !!

La Belgique, terre rock, s'est saisie de l'info dès l'annonce du livre par la voix de Classic 21 (de la RTBF), radio bien connue de la région Nord :

http://www.rtbf.be/classic21/article_duran-duran-enfin-une-biographie-en-francais?id=7864448&category=GENERATION%2080&emissionId=1065

Merci à Gabrielle Davroy.

25 octobre 2012

Livre "Duran Duran : Les Pop modernes", aux éditions Fayard, la couverture !!

19 octobre 2012

MAJEUR - Sortie de l'album physique MAURY ROAD

Entre PJ Harvey et Lana Del Rey, selon moi.

Mais d'autres sont aussi élogieux, notamment des journalistes de Radio France. Ici à propos de la chanson "Festival de Cannes" :

"Elle est très jolie cette chanson, avec ces arabesques vocales. Ça m'évoque les rêveries du premier Goldfrapp !"
"Bel univers, fragile et grâcieux"
"Je pense un peu au White Chalk de PJ Harvey et Stina Nordenstam, bravo, très joli"

"Mix très agréable à l'écoute (puis à la ré-écoute, à la ré-ré-écoute...)"

Pour rappel, la reprise du "Summertime Sadness" de MAJEUR a atteint les 5 000 vues sur YouTube en deux mois :

http://www.youtube.com/watch?v=5a32ty_lUDk

La très select webradio anglaise Amazing Radio, connue à travers le monde, a diffusé le remix de "She Was Gone" signé 835 :

http://soundcloud.com/promo-835/she-was-gone-835-remix

Ici, le clip de "The Word Unknown", titre d'ouverture de l'album :

http://www.youtube.com/watch?v=6joJHdX0334

pochetteMR

Track-listing du CD Maury Road :

1) The word unknown

2) She was gone

3) Message perso

4) Nico and Syd Barrett

5) Anything for you

6) Where are you now

7) Festival de Cannes

8) Open your eyes

9) Be happy

10) One two three

11) Lady night

12) Oh my baby

13) Radio

14) July 7, 2006

Vous pouvez commander l'album physique de Majeur sur simple demande, via le contact de mon blog.

 

 

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12 octobre 2012

Fier d'elle

Une fois n'est pas coutume, je profite de cet espace pour dire ma fierté de ma fille Betty, tout juste âgée de 7 ans.

Voici le cadeau magnifique qu'elle vient de me faire ce soir :

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Ce dessin vibre.

Fait en 5 secondes dit-elle (elle a encore du mal avec la notion de temps).

Merci Betty !

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10 octobre 2012

Strange Stranger Records

Stranger Records is an independent label based in London.

If Stranger Records likes your music, the label invites you in London and pays the tickets of the travel, even if you live in an other country.

Stranger Records even offers you a pied-à-terre if you don't know anyone in London.

Stranger Records is so in love with your music that he tells you he will send the tracks of your songs to some producers (possibly John Cale too) to be reworked in optimum conditions.

Then, Stranger Records asks you to send him a DVD with your songs tracks by tracks and some photos of you too, for your future page on the label's website.

Stranger Records says to you he will perhaps have a partnership with a big major record company, necessary condition to sign you a contract.

Stranger Records signs a partnership with a major record company and tells you nothing.

Besides, Stranger Records remains silent, no longer answers your messages.

You don't understand why, there's no reason for such a strange behaviour.

Stranger Records doesn't make any apologizes and returns you your DVD without a word.

This is Stranger Records.

This is a record company new generation.

This is the love of music new generation.

 

 

 

 

7 octobre 2012

Passéoscope

Dans un article titré "La new wave nouvelles génération", voici ce que l'on peut lire dans le magazine GQ d'octobre :

"Ligne de basse obsédante à la The Cure, voix somnambule à la Daho... Avec son single "La Forêt", Mathieu Lescop est devenu malgré lui le chef de file d'une nouvelle génération new wave".

Bon, passons les poncifs journaleustiques et attardons-nous sur le fond du problème : le titre "La forêt"... franchement ! Et après ça, on nous dit qu'il est devenu MALGRE LUI le chef de file d'une nouvelle génération new wave.

"La Forêt" et sa ligne de basse obsédante à la The Cure et sa voix somnambule à la Daho...

Et pourquoi pas "Charlotte quelquefois" ou "Week-end de Rom" ?

 

 

4 octobre 2012

Livre "DURAN DURAN : LES POP MODERNES"

Le livre que les rock critics vont aimer détester sort le 02 novembre, aux éditions Fayard.

En précommande sur le site de la FNAC :

http://livre.fnac.com/a4462428/Sebastien-Bataille-Duran-Duran-Les-Pop-Modernes

http://www.amazon.fr/pop-modernes-S-Bataille/dp/221366871X/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1350108504&sr=1-1

 

 

1 octobre 2012

Moi aussi, Richard Millet m'a choqué !

J'ai lu l'essai polémique de Richard Millet, désigné comme le nouveau néo-facho dans la presse à scandales (Le Monde, Le Nouvel Obs, etc.) : Langue Fantôme - Eloge Littéraire d'Anders Breivik.

Alors je n'ai pas l'habitude de hurler avec les loups, mais je vais participer à la cabale anti-Richard Millet, pas vraiment pour les mêmes raisons que les moralisateurs coin-coin.

On peut raconter ce qu'on veut, comme le fait Millet, mais les critiques sont tous passés à côté du vrai scandale de ce livre. En effet, à la page 80, l'intolérable, l'inacceptable, surgit : "Le roman international est devenu le rock, la pop, le rap de la littérature, autrement dit la forme même de son insignifiance bruyante et populiste : sa pulsation fascisante."   

Cette seule phrase suffit à le disqualifier, à discréditer le contenu de son pamphlet. Il peut dire ce qu'il veut du déclin de la littérature, de la langue française, du taré norvégien, mais mettre dans le même sac le rock, la pop et le rap, c'est pousser le bouchon de la provocation un peu loin. Le rock, la pop et le rap sont purement et simplement assimilés à de la musique de sauvages chez Richard Millet, les fans des Beatles et de John Lennon apprécieront. Bon, pour le rap, OK à part Eminem, mais le rock et la pop réduits à de l'insignifiance bruyante et populiste... en même temps, pour Richard Millet le rock doit s'arrêter aux Chaussettes Noires et la pop à Claude François, alors on peut l'excuser. Encore un Richard qui pédale sérieusement dans la semoule, à défendre son bouquin sur les plateaux comme s'il l'avait écrit à l'insu de son plein gré.

Langue Fantôme ? Ce soir il y a The Ghost Writer à la télé, mais pas chez Taddéï.

28 septembre 2012

Benjamin Biolay normal, c'est maintenant !

Benjamin Biolay se croyait à l'abri de problèmes neurologiques pour la simple raison qu'il n'a pas de téléphone portable. Mais la traversée des champs magnétiques du P.S. (clip choral "Le changement, c'est maintenant")* semble plus redoutable que n'importe quelle antenne-relais pour le cerveau de notre ex-chanteur français préféré. Le casting du nouvel album indique en effet que l'auteur-compositeur a basculé dans la zérotième dimension, après avoir su transporter pendant des années ses admirateurs au septième ciel (tant sa musique était anormale). Les noms font frémir : Oxmo Puccino, Orelsan, Vanessa Paradis... 

On peut se consoler en se rappelant que Jeanne Cherhal avait figuré dans La Superbe, sans entacher l'objet. Mais à l'écoute du duo avec Vanessa Paradis, je me dis que l'état de grâce est terminé, comme pour François Hollande. Déjà. Biolay aurait mieux fait de reprendre des chansons de Gérard Lenorman avec ses invités, pour rester cohérent.

* "Le changement c'est maintenant", c'est un peu comme dans les supermarchés, lorsque les produits changent de congélateurs tous les six mois au rayon surgelé ou lorsque les rayons sont déplacés une fois par an à la FNAC pour faire bosser le personnel : on sent bien que le changement c'est maintenant, tout l'indique.  

Quand je vois ces simulacres de "mouvement", d'évolution, de dynamisme, je pense au parallèle avec le slogan de Hollande. Et, je ne sais pas pourquoi, au Château de Kafka aussi.

19 septembre 2012

Charlie Hebdo, Pussy Riot, Rock&Folk

Charlie Hebdo publie des caricatures de Mahomet au nom de la liberté d'expression. De la part d'un journal qui a lancé une pétition dans les années 90 pour interdire le Front National, cet argument fait doucement rigoler. Charlie Hebdo est en manque de lectorat depuis la fin du Pop-club de José Arthur et ne sait plus quelle idiotie inventer pour faire parler de lui.

Sur l'imposture Pussy Riot, les "punks" pour bobos (ne cherchez pas leur oeuvre, c'est comme pour leur cerveau, il n'y en a pas) :

Les Sex Pistols avaient au moins le sens de l'autodérision, en s'autoproclamant "la plus grande escroquerie du rock'n'roll". Alors qu'ici, devant le vide abyssal nommé Pussy Riot, les défenseurs autoproclamés de la liberté d'expression montent le plus sérieusement du monde au créneau pour défendre la crétinerie incarnée. Le conformisme de l'anticonformisme et son gloubi-boulga idéologique (féminisme crypto-résistant, crétinisme conceptualisé, activisme volailler) a encore gagné du terrain dans la basse-cour médiatique.

Rock&Folk y va de sa couverture sur Pussy Riot. Après tout, plus le mensonge est gros (Plastiscines, Naast, Pussy Riot), plus il a de chances d'être cru. Manoeuvre : Goebbels de la presse "rock" ?

Avant, les journaux servaient à emballer le poisson, maintenant, certains sentent clairement la morue.  

 

9 septembre 2012

EIFFEL, Foule Monstre : album de la rentrée (au moins) !

 

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Avant d'écrire cette chronique sur Foule Monstre, j'ai eu envie de réécouter toute la discographie de Eiffel, comme si Claire Chazal venait d'annoncer la disparition du groupe bordelais dans des circonstances floues.

Oui, si Eiffel disparaissait aujourd'hui dans des circonstances troubles (comme le chanteur de Killing Joke cet été), il en serait fait mention dans le journal de 20 Heures de TF1 et Les Grosses Têtes diffuseraient "A tout moment la rue" (sauf si Johnny, l'artiste RTL, disparaissait en même temps). Que de chemin parcouru en dix ans !

Eiffel est l'un des seuls espoirs de la musique en France, au sens où il existe par son seul talent musical et non par filiation familiale ou promotion canapé. Espoir donc pour les amateurs de musique et les musiciens qui ont une âme et du talent au pays du piston des bébés rockers et des bobos rockers. Eiffel s'est fait une place sans même avoir cédé au créneau bonnard du "rock engagé" (comprendre "rock normal" : sans grâce, sans charisme, engagé dans les subventions). L'authenticité et la sincérité payent aussi parfois, quand ils ne sont pas des arguments marketing mais les véhicules d'un talent musical sans failles. Le combo bordelais en est la preuve éclatante.

Avant même de jeter une oreille sur Foule Monstre, je me dis que tout ce que les quatre musiciens peuvent sortir maintenant n'est finalement que du bonus : ils ont déjà leur "Avec le temps" à eux ("J'ai poussé trop vite"), leur "Ne me quitte pas" ("Sombre"), leur Citizen Kane ("Tu vois loin"), leur Joconde ("Qu'ai-je donc à donner "), leur Voyage au bout de la nuit ("Sous ton aile"), leur Pyramide du Louvre ("Tes vanités"), leur Venus de Milo ("Hype"), leur étoile au Hollywood Boulevard du rock crépusculaire en rémission. Tout un trésor qui n'aura de cesse d'être découvert et redécouvert avec le temps.

En guise de bonus donc, Eiffel publie aujourd'hui un album parfait aux 3/4 (quasi parfait pour le reste) - mélodieux et évident, poétique et magnifiquement produit -, contenant trois singles potentiels dans sa première moitié (en plus du premier, "Place de mon cœur") : "Libre", gros gros tube dance en puissance qui pourrait bien propulser Eiffel sur les dancefloors, "Foule Monstre", un bœuf au paradis entre Bashung, Gainsbourg et Lennon, "Le même train", bulldozer FM rock que n'auraient pas reniés les années 80, une époque où fulgurance et arrangements n'étaient pas considérés comme des gros mots dans la création musicale française. Vertige de l'amour de la musique, le retour. Foule Monstre regorge de chansons populaires, au sens noble du terme.

L'entité "groupe" Eiffel n'a pas de concurrence en France, il joue seul en Ligue 1, avec deux-trois remplaçants pas à la hauteur sur le banc de touche. Tous les autres évoluent en division du déshonneur.

Eiffel, groupe engagé ? Dieu nous en préserve. Les donneurs de leçon finissent toujours au rebut de l'histoire, sans passer par la case Bastille. L'étiquette "engagé" - vide de sens - est un raccourci journalistique (pléonasme) bien pratique pour s'affranchir de l'effort d'une qualité d'écoute permettant de déceler la singularité d'un groupe. La singularité de Eiffel réside dans sa poésie de haut vol et son âme haut perchée au-dessus de la foule faussement sentimentale, d'une mêlée "qui devient un nouvel « humanitarisme » écolo-éthique, où l’indifférence est généralisée sous couvert de « l’amitié entre les hommes »", pour reprendre les termes de Dantec.

En 2012, Eiffel incarne à sa façon une résistance contre l'aliénation ambiante, par la seule constance de son talent (discrimination ultra positive). Avant, il y avait du Thiéfaine, du Noir Désir, du Ferré, du Pixies, du Lennon/McCartney, du Romy Schneider dans Eiffel. Aujourd'hui, il y a du Gorillaz, du Balavoine ("Libre"), du Shaka Ponk et toujours de l'excellent Eiffel. Tant qu'il n'y a pas du Izia et autres représentants du toc français, le rock français en France - au sens où il s'exprime dans la langue de Molière et de Rimbaud - a encore de beaux jours devant lui.

Bref, laissez-vous emporter par Foule Monstre.

 

27 août 2012

Qui a dit que la perfection n'existe pas ?

17 août 2012

"From The Heart" de Geoffrey Oryema : meilleur album interdit de 2012 !

Le mariage réussi de l'Afrique et de la Bretagne, le meilleur du métissage : beau et chaud comme la voix sablonneuse de Geoffrey Oryema.

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13 août 2012

Bernard Benoit, la musique du grand large

La musique de ce compositeur m'a envoûté lors de mon deuxième long passage en Bretagne, dans les Côtes-d'Armor, au milieu des années 90.

Le morceau "L'héritière de Keroulaz" m'a flanqué la chair de poule des bords de mer bretons (berceaux des vies chaotiques). L'ivresse des profondeurs dans les oreilles :

http://www.musicme.com/#/Bernard-Benoit/albums/Lutunn-Noz-:-Celtic-Guitar-3325480644849.html

Musique d'été s'il en est : intemporelle, mélancoliquement ensoleillée, ciselée par une beauté faiseuse de souvenirs.

Une vidéo YouTube :

 

 

Leçon non démonstrative :

 

 

Le site officiel de Bernard Benoit :

http://www.bernardbenoit.com/

 

 

8 août 2012

"Summertime Sadness" de Lana Del Rey par Majeur : coup de coeur de lana-delrey.fr

Lana-delrey.fr est la première source française sur la chanteuse Lana Del Rey.

Le site a eu le coup de coeur pour le clip "Summertime Sadness" de Majeur et l'a mis sur sa page d'accueil :

http://www.lana-delrey.fr/

6 août 2012

DURAN DURAN - LES POP MODERNES (Fayard, Novembre 2012)

J'ai l'immense plaisir de vous annoncer la parution de mon prochain livre, Duran Duran - Les Pop Modernes, aux éditions Fayard, le 2 novembre.

La biographie que les rock critics vont aimer détester est en précommande sur les sites FNAC et Amazon :

http://livre.fnac.com/a4462428/Sebastien-Bataille-Les-pop-modernes

http://www.amazon.fr/Pop-Modernes-Bataille-S/dp/221366871X/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1344273856&sr=1-1

 

 

5 août 2012

New single de Majeur : "The Word Unknown"

5 août 2012

Cadeau extra gift : Lana Del Rey Summertime Sadness covered by Majeur !

Dans la chaleur de l'été

Dans la chaleur de la nuit

Enjoy it :

 

2 août 2012

Lana Del Rey : l'antidote !

Dans la série "On a ce qu'on mérite", Madonna vient de décevoir ses fans pour n'avoir joué que 45 minutes pour des places à 200 euros. Les supporters de la Madone réclament une deuxième mi-temps, alors que l'Olympia n'est pas un terrain de foot.

Marrant de voir à quel point la prêtresse de l'anti-conformisme politiquement correct le plus tragique et décérébré, séparant le grain de l'ivraie pour son usage démago personnel, s'attire les foudres de son public nourri au consensus social faussement provoc' et faussement émancipateur. En présentant Marine Le Pen avec une croix gammée sur le front, Madonna s'abaisse à faire du Ruquier. En même temps, venant d'une nana qui se prend pour Che Guevara (Cf le livret intérieur de son album "American Life"), on ne peut pas trop l'accabler non plus.

Je dois dire que je n'ai jamais acheté d'album de Madonna, à part "American Life" donc, et j'en suis assez fier aujourd'hui. Son amour des manteaux de fourrure et des sets de 45 minutes ne me le font pas regretter, bien au contraire. La lucidité, c'est aussi le ressenti éclairé.

Alors que la fête du slip et du string bat son plein chez les "artistes féminines" (Madonna, Rihanna, Lady Gaga, etc.), il y en a une qui réconcilie le succès populaire avec la qualité artistique : Lana Del Rey. J'ai acheté son album à sa sortie, en début d'année, sur la seule foi d'une tentative en borne d'écoute, la pochette et le titre de l'album aidant. Quand ce genre de miracle arrive, j'en arrive encore à croire en un monde meilleur et me dis que ceux qui annoncent une troisième guerre mondiale pour demain sont bien à plaindre. Pour une fois qu'un antidote à la vulgarité crasse, à la bêtise ambiante et la misère artistique existe, il serait dommage de s'en priver. Lana Del Rey a enterré la concurrence. Quant à ceux qui prétendent que son album est "certes inégal", dites-vous que ces gens-là sont les mêmes qui servent la soupe à Johnny Hallyday. Désormais, avec "Born To Die", la musique reprend ses droits chez les filles, PJ Harvey doit se sentir moins seule.

 

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